Atelier gravure avec Hitomi Takeda
Mercredi 10 mai et jeudi 11 mai avec les élèves de 1ère, Tle spé et d'option.
Nous avons profité de la présence de son œuvre La parade des cent démons dans les quartiers nord de Marseille pour rencontrer l'artiste japonaise Hitomi Takéda. Après être revenue sur son œuvre et l'importance des yokai dans son travail, nous avons découvert la technique de la gravure sur polystyrène, une manière un peu détournée de mieux comprendre l'estampe japonaise.
Les estampes réalisées par les élèves sont visibles au CDI à partir du 16 mai.
Les estampes réalisées par les élèves sont visibles au CDI à partir du 16 mai.
Visites parisiennes
Mercredi 1er Mars - Journée à Paris
Journée très dense à Paris pour les révisions du bac avec les terminales...
Au programme : Descente des Champs élysées, visite du musée de l'Orangerie, pique-nique dans les jardins des Tuileries et enfin, visite des chefs-d'œuvre au Musée du Louvre ! Merci pour cette superbe journée, sous le soleil parisien.
Au programme : Descente des Champs élysées, visite du musée de l'Orangerie, pique-nique dans les jardins des Tuileries et enfin, visite des chefs-d'œuvre au Musée du Louvre ! Merci pour cette superbe journée, sous le soleil parisien.
Journée d'immersion à l'école des Beaux-arts
Mercredi 01 février - Visite et atelier à l'école des Beaux-arts de Marseille
Les élèves de terminale spé Arts Plastiques ont pu passer une journée en immersion à l'école des Beaux-arts de Marseille (campus Luminy).
Au programme de la journée : visite de l'école (espaces communs, bibliothèques, etc.) et des différents ateliers de pratique (peinture, bois, LOAD, sculpture, etc.) le matin ; rencontre avec les étudiant.es de la prépa et atelier de modelage l'après-midi.
Merci à Marcello Valente (assistant d'enseignement terre) pour ses conseils précieux pour apprendre à maîtriser l'argile.
Cette visite s'inscrit dans le cadre d'un parcours d'excellence en lien avec le programme égalité des chances de la fondation Culture et Diversité, partenariat qui, en plus des rencontres avec l'école permet, cette année, à deux élèves d'effectuer un stage (tous frais payés) d'une semaine à l'école des Beaux-arts de Tours afin de se préparer sereinement aux concours d'entrée en écoles d'art.
Au programme de la journée : visite de l'école (espaces communs, bibliothèques, etc.) et des différents ateliers de pratique (peinture, bois, LOAD, sculpture, etc.) le matin ; rencontre avec les étudiant.es de la prépa et atelier de modelage l'après-midi.
Merci à Marcello Valente (assistant d'enseignement terre) pour ses conseils précieux pour apprendre à maîtriser l'argile.
Cette visite s'inscrit dans le cadre d'un parcours d'excellence en lien avec le programme égalité des chances de la fondation Culture et Diversité, partenariat qui, en plus des rencontres avec l'école permet, cette année, à deux élèves d'effectuer un stage (tous frais payés) d'une semaine à l'école des Beaux-arts de Tours afin de se préparer sereinement aux concours d'entrée en écoles d'art.
Biennale des imaginaires numériques (1ère)
Jeudi 15 décembre 2022 - Visite des expositions à Aix-en-Provence
Vendredi 16 décembre 2022 - Visite des exposition "Etat de veille" et "After Party" à la Friche Belle de Mai
Lundi 30 janvier / Vendredi 03 février - Atelier de pratique sonore
Vendredi 16 décembre 2022 - Visite des exposition "Etat de veille" et "After Party" à la Friche Belle de Mai
Lundi 30 janvier / Vendredi 03 février - Atelier de pratique sonore
Dans le cadre d'Une Rentrée Numérique avec Seconde Nature, les élèves de première spécialité Arts Plastiques ont eu l'occasion de visiter les expositions "Etat de Veille" et "After Party" à la Friche Belle de Mai ainsi que les expositions "Le derniers sont des aurores", "Ada", "Taotie", "A la tombée de la nuit" à Aix-en-Provence, programmées dans le cadre de la Biennale des imaginaires numériques autour de la thématique de “La nuit” cette année.
La thématique ouvre vers de nombreux imaginaires, liée au monde du rêve. Dans le même temps, la nuit nous renvoie à des peurs archaïques, “car la nuit est sombre est pleine de terreurs” (les fans de séries télé reconnaîtrons le célèbre adage de Game of Thrones) que nous tenterons de conjurer ensemble. Enfin, la nuit est devenue un enjeu économique et social. Récemment, le géant de la VOD
Netflix déclarait “notre seul ennemi, c’est le sommeil”. Comment, dans un monde hyper connecté soumis à des logiques marchandes agressives, pouvons-nous conserver un des derniers espaces de liberté qu’il nous reste, la nuit ? Autant de questions soulevées par les artistes de la biennale.
La visite sera suivie d'un atelier de pratique sonore en classe à partir de l'œuvre Le dernier son des aurores de Sébastien Robert. Avec leurs tablettes sur lesquelles, ils ont téléchargé l'application BandLab en amont, les élèves vont donner à entendre les aurores boréales.
Cela est le point de départ d'un projet avec Mme Lauxerois (Français, atelier d'écriture), les élèves devront interpréter visuellement et de manière sonore des poèmes créés en cours de français. Ces réalisations seront présentées dans le lycée sous forme de balade interactive géolocalisée afin que tous les usagers du lycée puissent les découvrir.
La thématique ouvre vers de nombreux imaginaires, liée au monde du rêve. Dans le même temps, la nuit nous renvoie à des peurs archaïques, “car la nuit est sombre est pleine de terreurs” (les fans de séries télé reconnaîtrons le célèbre adage de Game of Thrones) que nous tenterons de conjurer ensemble. Enfin, la nuit est devenue un enjeu économique et social. Récemment, le géant de la VOD
Netflix déclarait “notre seul ennemi, c’est le sommeil”. Comment, dans un monde hyper connecté soumis à des logiques marchandes agressives, pouvons-nous conserver un des derniers espaces de liberté qu’il nous reste, la nuit ? Autant de questions soulevées par les artistes de la biennale.
La visite sera suivie d'un atelier de pratique sonore en classe à partir de l'œuvre Le dernier son des aurores de Sébastien Robert. Avec leurs tablettes sur lesquelles, ils ont téléchargé l'application BandLab en amont, les élèves vont donner à entendre les aurores boréales.
Cela est le point de départ d'un projet avec Mme Lauxerois (Français, atelier d'écriture), les élèves devront interpréter visuellement et de manière sonore des poèmes créés en cours de français. Ces réalisations seront présentées dans le lycée sous forme de balade interactive géolocalisée afin que tous les usagers du lycée puissent les découvrir.
En immersion dans l'oeuvre de Ghada Amer
Jeudi 08 décembre 2023
"Ghada Amer, Sculpteure", Vieille Charité
"Ghada Amer, Orient – الشرق – الغرب – Occident", MuCEM
"Ghada Amer, Witches and Bitches", Frac Provence-Alpes-Côte d'Azur
"Ghada Amer, Sculpteure", Vieille Charité
"Ghada Amer, Orient – الشرق – الغرب – Occident", MuCEM
"Ghada Amer, Witches and Bitches", Frac Provence-Alpes-Côte d'Azur
La visite des expositions monographiques sur l'artiste franco-américano-égyptienne est le point de départ d'un projet plus vaste mené en lien avec le cours d'EMC de Mme Marcel. Le travail engagé de l'artiste sur les questions de féminisme et de la relation orient occident va donner lieu à une réflexion sur les stéréotypes de genre et le regard des occidentaux sur l'Orient.
Au mois d'avril, les élèves réaliseront deux journées de workshop avec l'artiste Sophie Baillet, dont la pratique, comme celle d'Amer est basée sur la technique de la broderie.
Les élèves vont broder leur vision des femmes contemporaines. Cette œuvre collective sera présentée de 14 avril au MuCEM.
Au mois d'avril, les élèves réaliseront deux journées de workshop avec l'artiste Sophie Baillet, dont la pratique, comme celle d'Amer est basée sur la technique de la broderie.
Les élèves vont broder leur vision des femmes contemporaines. Cette œuvre collective sera présentée de 14 avril au MuCEM.
Biennale des imaginaires numériques (Tle)
Vendredi 21 octobre 2022 - Atelier de création sonore
vendredi 18 novembre 2022 - Visite des exposition "Etat de veille" et "After Party" à la Friche Belle de Mai
vendredi 18 novembre 2022 - Visite des exposition "Etat de veille" et "After Party" à la Friche Belle de Mai
Dans le cadre d'Une Rentrée Numérique avec Seconde Nature, les élèves de terminale spécialité Arts Plastiques ont eu l'occasion de visiter les expositions "Etat de Veille" et "After Party" à la Friche Belle de Mai programmées dans le cadre de la Biennale des imaginaires numériques autour de la thématique de “La nuit” cette année.
La thématique ouvre vers de nombreux imaginaires, liée au monde du rêve. Dans le même temps, la nuit nous renvoie à des peurs archaïques, “car la nuit est sombre est pleine de terreurs” (les fans de séries télé reconnaîtrons le célèbre adage de Game of Thrones) que nous tenterons de conjurer ensemble. Enfin, la nuit est devenue un enjeu économique et social. Récemment, le géant de la VOD
Netflix déclarait “notre seul ennemi, c’est le sommeil”. Comment, dans un monde hyper connecté soumis à des logiques marchandes agressives, pouvons-nous conserver un des derniers espaces de liberté qu’il nous reste, la nuit ? Autant de questions soulevées par les artistes de la biennale.
La visite a été précédée d'un atelier de pratique sonore en classe à partir de l'œuvre Le dernier son des aurores de Sébastien Robert. Avec leurs tablettes sur lesquelles ils avaient téléchargé l'application BandLab en amont, les élèves ont donné à entendre les aurores boréales.
La thématique ouvre vers de nombreux imaginaires, liée au monde du rêve. Dans le même temps, la nuit nous renvoie à des peurs archaïques, “car la nuit est sombre est pleine de terreurs” (les fans de séries télé reconnaîtrons le célèbre adage de Game of Thrones) que nous tenterons de conjurer ensemble. Enfin, la nuit est devenue un enjeu économique et social. Récemment, le géant de la VOD
Netflix déclarait “notre seul ennemi, c’est le sommeil”. Comment, dans un monde hyper connecté soumis à des logiques marchandes agressives, pouvons-nous conserver un des derniers espaces de liberté qu’il nous reste, la nuit ? Autant de questions soulevées par les artistes de la biennale.
La visite a été précédée d'un atelier de pratique sonore en classe à partir de l'œuvre Le dernier son des aurores de Sébastien Robert. Avec leurs tablettes sur lesquelles ils avaient téléchargé l'application BandLab en amont, les élèves ont donné à entendre les aurores boréales.
La couleur des rêves
Du 06 au 16 décembre 2022
Banksy Modeste Collection, Cité des arts de la rue
Lundi 10 et mardi 11 octobre 2022
La Cité des arts de la rue accueille la Banksy Modeste Collection : près de 200 pièces accumulées au fil des ans par François Bérardino alias Béru. Une plongée dans l’univers engagé et humoristique de l’un des artistes d’art urbain les plus emblématiques de sa génération.
L’histoire démarre en 2007 : en voyage à Londres, le comédien venu jouer dans un festival se retrouve au hasard d’une rencontre dans l’atelier d’un graffeur. Il ne réalisera que quelques semaines plus tard qui il a rencontré. Les œuvres, l’esprit, les combats de l’artiste résonnent en lui : il décide de collecter tout ce qui est à sa portée : stickers, dessous de verres, billets d’expos, pochoirs utilisés par l’artiste dans ses réalisations, des affiches d’expositions, des cartes postales, des dessins ou encore des sérigraphies à faible tirage... Pendant des années, Béru accumule objets et images qui retracent le parcours de l’artiste et constitue une collection exceptionnelle.
Source : Lieux publics
L’histoire démarre en 2007 : en voyage à Londres, le comédien venu jouer dans un festival se retrouve au hasard d’une rencontre dans l’atelier d’un graffeur. Il ne réalisera que quelques semaines plus tard qui il a rencontré. Les œuvres, l’esprit, les combats de l’artiste résonnent en lui : il décide de collecter tout ce qui est à sa portée : stickers, dessous de verres, billets d’expos, pochoirs utilisés par l’artiste dans ses réalisations, des affiches d’expositions, des cartes postales, des dessins ou encore des sérigraphies à faible tirage... Pendant des années, Béru accumule objets et images qui retracent le parcours de l’artiste et constitue une collection exceptionnelle.
Source : Lieux publics
Atlas en mouvement, Mathieu Pernot, MuCEM
Le vendredi 23 septembre 2022
« L’Atlas en mouvement » présente les travaux réalisés par Mathieu Pernot depuis plus d’une dizaine d’années avec des personnes migrantes et propose une nouvelle perspective dans la manière de les représenter.
L’astronomie, la botanique, l’anatomie, la cartographie, l’histoire de l’écriture, la question de l’habitat sont convoquées dans cet atlas comme un savoir commun à l’ensemble de l’humanité. Un savoir commun qui se trouve ici incarné par des individus aux destins singuliers rencontrés par l’auteur.
Mathieu Pernot propose une nouvelle forme de récit, où l’histoire partagée se raconte à plusieurs voix. Mêlant photographies, vidéos, supports manuscrits, cartes et objets trouvés, l’atlas renverse le point de vue qui se pose sur les personnes migrantes. La plupart du temps sujets anonymes et anxiogènes du discours médiatique, ces individus sont ici nommés et inscrits dans le temps long de l’histoire des savoirs dont ils sont les dépositaires.
De Mossoul à Alep, de Lesbos à Calais en passant par Paris, « L’Atlas en mouvement » traverse les temps et les territoires de l’exil et part à la rencontre de celles et ceux qui ont la force de l’espoir. Il met en mouvement les images et propose de créer un espace où représenter l’histoire fragile des migrants. Il nous dit que celle-ci s’inscrit dans une histoire commune qu’il faut écrire ensemble.
Source : MuCEM
L’astronomie, la botanique, l’anatomie, la cartographie, l’histoire de l’écriture, la question de l’habitat sont convoquées dans cet atlas comme un savoir commun à l’ensemble de l’humanité. Un savoir commun qui se trouve ici incarné par des individus aux destins singuliers rencontrés par l’auteur.
Mathieu Pernot propose une nouvelle forme de récit, où l’histoire partagée se raconte à plusieurs voix. Mêlant photographies, vidéos, supports manuscrits, cartes et objets trouvés, l’atlas renverse le point de vue qui se pose sur les personnes migrantes. La plupart du temps sujets anonymes et anxiogènes du discours médiatique, ces individus sont ici nommés et inscrits dans le temps long de l’histoire des savoirs dont ils sont les dépositaires.
De Mossoul à Alep, de Lesbos à Calais en passant par Paris, « L’Atlas en mouvement » traverse les temps et les territoires de l’exil et part à la rencontre de celles et ceux qui ont la force de l’espoir. Il met en mouvement les images et propose de créer un espace où représenter l’histoire fragile des migrants. Il nous dit que celle-ci s’inscrit dans une histoire commune qu’il faut écrire ensemble.
Source : MuCEM
L'EXPOSITION VUE PAR LES ÉLÈVES